Le Paris Saint-Germain a encore frappé un grand coup sur la scène européenne. Opposés à l’Atalanta Bergame, les Parisiens n’ont laissé aucune chance à leurs adversaires en s’imposant largement 4-0, dans un Parc des Princes bouillant. Cette victoire nette et sans bavure confirme l’excellent état de forme du club de la capitale et confirme de plus en plus l’espoir d’un deuxième d’affilé sacre en Ligue des Champions.
UNE ENTAME IDÉALE
(Photo: PSG)
Dès les premières minutes, le PSG a imposé son rythme. Marquinhos, capitaine exemplaire, a ouvert le score à la 3e minute, lançant parfaitement son équipe. Maîtrise collective, pressing haut et vitesse dans les transitions : Paris a tout de suite asphyxié les Italiens, incapables de développer leur jeu habituel.
KVARATSKHELIA CONFIRME SON STATUT DE LEADER
(Photo: PSG)
L’une des recrues phares du mercato, Khvicha Kvaratskhelia, a enflammé le Parc en inscrivant le deuxième but à la 39e minute. Le Géorgien, déjà très apprécié pour sa créativité et ses dribbles déroutants, a encore montré qu’il pouvait être l’arme fatale de cette équipe parisienne dans les grands rendez-vous.
MENDES ET RAMOS SCELLENT LE TRIOMPHE
(Photo: PSG)
Au retour des vestiaires, Nuno Mendes a aggravé le score à la 51e minute d’une frappe puissante, symbole de la domination parisienne. Enfin, Gonçalo Ramos, opportuniste, a clos le festival offensif dans le temps additionnel (90+1’), offrant au PSG un succès probant et une soirée parfaite.
UN PSG PLUS QUE JAMAIS CANDIDAT AU TITRE
Avec cette démonstration, Paris envoie un message clair à ses rivaux européens : il faudra compter sur lui cette saison. Solide défensivement, inspiré offensivement, et porté par un effectif riche et varié, le club francilien affiche une maturité nouvelle.
La question brûle désormais toutes les lèvres : le PSG est-il en route vers un deuxième sacre européen ? Après avoir enfin goûté à la gloire en Ligue des Champions, les hommes de Luis Enrique semblent déterminés à récidiver. Et au vu de la prestation face à l’Atalanta, difficile de ne pas y croire.
Paris trop fort ? Peut-être. Une chose est sûre : l’Europe est prévenue.
Roméo Elahiel
